Amour impossible ...

La lumière est invisible, seul la lune éclaire la pièce. Les couleur altérer par le bleu de la nuit donnant à la chambre un air de mille et une nuit. Les ombres bougeant le long de la pièce.

A nos yeux, un spectacle banal, au leurs une nuit folle qui s'annonce. Depuis l'iris de ses yeux saphir, elle regarde et admire l'homme qui se tient devant elle. Les formes de son corps et ce visage hypnotique. Elle le toise, l'apprivoise, le soutient, le dévore, le maintien, l'implore.

C'est ce qu'ils disent en silence, quand la paroles n'a plus lieu d'être, qui les animent. Une danse lancinante entre le mutisme et la tranquillité, un désir qui les hante, anachronisme du temps où son passé n'est plus qu'un vague souvenir.

Quand ils sont deux, quand la chaleur augmente, quand l'envie se fait violente, quand leur corps se rapproche, quand leur regard s'accroche.

Hommes et femmes de pierre, sans cœur, sans âme, juste deux êtres en rythme sur une danse enivrante. Un sourire, un regard, un touché, une caresse, un frôlement, leur sens s'affole.

Aux destins sans gloire, l'envie d'une vie insignifiante, de pouvoirs s'aimer librement. Ainsi leur exploit ne sont plus, les minutes non plus, seul leur deux corps, leurs deux esprit attaché l'un a l'autre.

L'horloge sonne, il est minuit, une fougue qui les impressionne, baiser ardent qui leur nuit.

Ses mains emprisonné, ses doigts le long de ses formes, un gémissement désespérer, son désir devenu hors-norme.

Sa langue sur son ventre, elle se concentre, il descend, les yeux fermer elle attend.

Le souffle coupé, il entreprend, son corps impatient, ses pensés exulté.

Silhouettes exquises , la jeune femme face a son emprise, l'iris fermés, le plaisir intense, face a l'être aimé, ils frémissent d'impatiente.

Ainsi le jeu se consume de lui même, leur acte seul signifiant leur désaveu.